More‐than‐human intersectionality
2015 Canadian Association of Geographers Annual Meeting ‐June 1‐5, 2015 Simon Fraser University, Vancouver, British Columbia Organized by Will McKeithen, Skye Naslund and Kathryn Gillespie
The 'more‐than‐human' has emerged as a critical site of epistemological and ontological investment in recent years, within both human and physical, natural, and biocentric geographies. This work ranges from politically engaged understandings of human‐environment relations to troubling the ontologies of human/nonhuman altogether. Simultaneously, recent decades have witnessed a wellspring in critical scholarship surrounding the ‘intersectionality’ of multiple axes of what is often called ‘social’ difference, with particular focus on how socionatural and political economic formations emerge at the intersections of multiple categories, identities, and processes.
For this paper session we invite scholars to share work that sits in the intersectional spaces of these two formations: critical studies of the non/human and intersectional social theory. We consider such endeavors necessary both because no injustice operates independently and because the categories of human/nonhuman/animal are not stable but rather coarticulated through markings of difference. Thus, we seek work that considers how processes of species differentiation, de/humanization, animalization, and ecopolitics more broadly inform (and are informed by) dynamics of race, gender, sex/uality, age, nation, empire, indigeneity, dis/ability, embodiment, class, space, scale, and place.
If you are interested in giving a paper on this subject, please submit a title and abstract for your proposed paper to Will McKeithen (wmck@uw.edu), Skye Naslund (snaslund@uw.edu) and Katie Gillespie (kathryn.a.gillespie@gmail.com) by March 6, 2015.
Appel à communications : « L’intersectionnalité plus-qu’humaine »
Congrès 2015 de l’Association canadienne des géographes, Université Simon Fraser, 1-5 juin 2015
Séance organisée par Will McKeithen, Skye Naslund et Kathryn Gillespie
La perspective critique « plus-qu’humaine » est apparue dans le champ épistémologique et ontologique au cours des dernières années, autant dans les géographies humaines et physiques que naturelles et biocentriques. Ces travaux abordent divers sujets allant de l’engagement politique dans la conception du rapport humain-environnement au bousculement des fondements ontologiques de l’humain/non humain. Qui plus est, « l’intersectionnalité » d’une multitude d’axes de ce qui est communément appelé la différence « sociale » est devenue dans les récentes décennies une source inépuisable de recherches critiques dont l’accent porte sur la manière par laquelle peuvent émerger des configurations politico-économiques et socio-naturels au croisement d’un ensemble de catégories, identités et processus.
Pour cette séance de communications orales, on demande aux chercheurs de nous faire part de travaux qui se situent au cœur des espaces intersectionnelles de ces deux configurations : études critiques sur le non/humain et la théorie sociale intersectionnelle. À notre avis, il est essentiel de s’efforcer à mener ces initiatives à la fois parce que l’injustice n’existe pas en vase clos et parce que n’étant pas stables les catégories humain/non-humain/animal s’articulent de manière continue à travers les marques de la différence. Nous sollicitons donc des travaux qui s’interrogent à savoir comment les processus de différenciation des espèces, de dé/humanisation, d’animalisation et d’écopolitique inspirent plus largement (et sont inspirés par) la dynamique de l’identité raciale, le genre, la sexualité, l’âge, la nation, l’empire, l’indigénéité, l’in/capacité, l’incarnation, la classe, l’espace, l’échelle et le lieu.
Si vous souhaitez donner une communication sur ce sujet, veuillez s’il vous plaît faire parvenir un titre et un résumé de votre proposition au plus tard le 6 mars 2015 à l’attention de Will McKeithen (wmck@uw.edu), Skye Naslund (snaslund@uw.edu) et Katie Gillespie (kathryn.a.gillespie@gmail.com).